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Le plastique, un fléau planétaire.

On nous apprend depuis toujours que le plastique est recyclable, qu’il est important de faire le tri, et que grâce à cela, nous pouvons sauver la planète. Mais ce qu’on ne vous dit pas, ce sont les véritables informations sur le plastique à cause du lobbying.

Regardons de plus près cette matière…

  • Le plastique n’est pas une solution écologique : Le plastique, contrairement à beaucoup de matériaux, n’est pas recyclable à l’infini. De plus, peu de sortes de plastiques sont recyclables.
  • Le plastique est un danger pour la santé : Une étude intéressante de l’association Agir pour l’environnement montre  le danger de ces emballages : 78 % des eaux en bouteille contiennent des microparticules de plastique.
  • En France, entre 1,9 et 4,5 millions de tonnes de déchets plastiques sont jetés chaque année*. Pourtant, le taux de recyclage des déchets plastiques en France atteint seulement 26 %.

Un peu d'Histoire

L’invention du plastique moderne remonte au XIXe siècle. Alexander Parkes, un inventeur britannique, a joué un rôle crucial dans cette avancée. En 1856, Parkes a présenté un matériau novateur à l’Exposition universelle de Londres, qu’il a appelé « Parkesine ». C’était un polymère à base de cellulose dérivé de la nitrocellulose, capable de se solidifier après chauffage, puis de se refroidir pour former une matière durable et moulable lorsqu’elle était plongé dans de l’eau.

La Parkesine était un précurseur des plastiques modernes, mais elle présentait des inconvénients, notamment une production coûteuse et une stabilité limitée. En 1862, Parkes a déposé un brevet pour cette matière révolutionnaire, mais sa commercialisation était limitée.

Plus tard, en 1907, Leo Hendrik Baekeland, un chimiste belgo-américain, a développé le Bakélite, considéré comme le premier plastique synthétique entièrement stable et malléable. Le Bakélite était fabriqué à partir de phénol et de formaldéhyde, offrant une résistance élevée à la chaleur et aux produits chimiques, ainsi qu’une grande flexibilité d’utilisation. Ce matériau a été largement utilisé dans la production de divers objets, des boutons aux composants électriques.

L’invention du Bakélite a marqué le début de l’ère des plastiques synthétiques, ouvrant la voie à une multitude de nouveaux matériaux polymères et contribuant énormément à l’industrie moderne telle que nous la connaissons aujourd’hui.

Le Marketing et le Plastique

Notre petite mascotte préférée pense naïvement que son pot en yaourt sera entièrement recyclés puisque, après tout, c’est ce qu’il entend partout ! Mais mon petit pote, malheureusement, tu te trompes ! Pas d’inquiétude, on va tout expliquer ! 

Et oui, souvent les marques vous mentent en certifiant que leurs contenants en plastique sont entièrement recyclés.

Prenons en exemple un simple pot de yaourt. Il se compose de différents matériaux et de différents plastiques, rendant son recyclage beaucoup trop complexe.

Ce principe s’applique à tout contenant à base de plastique ! Et même si la propagande des lobbys vous certifie qu’à partir de 2024 tout les plastiques seront recyclables, c’est un mensonge. Tous les plastiques pourront être mis dans la poubelle de tri (ceci afin d’éviter que les gens ne se trompent). En aucun cas le plastique n’est entièrement recyclable, et il ne l’est certainement pas à l’infini!

Parmi les 30 % de plastiques collectés, tous ne sont pas recyclés. Et cela pour plusieurs raisons : 

  • Les difficultés pour séparer les différents types de plastique pour un recyclage efficace. Comme nous le disions, il existe de nombreuses sortes de plastiques et ils doivent être recyclés séparément. Le problème étant que si un morceau de plastique d’un type différent se retrouve dans un processus de recyclage d’un autre type, tout le lot sera écarté et ne pourra pas être recyclé.  
  • La rentabilité très faible du recyclage du plastique face à une matière première vierge très peu coûteuse.  
  • L’impossibilité de trier les petits plastiques, tels que les bouchons ou les petites pièces.
  • Le peu de demande de recyclage des types de plastiques à faible volume.  

 

Recyclable ou Recyclé, Kezako?

Quand on dit qu’un emballage est recyclable, cela signifie qu’il a été fabriqué avec une matière qui peut être traitée par une usine de recyclage, pour qu’elle soit transformée en une nouvelle matière dite secondaire, qui servira à fabriquer de nouveaux emballages ou de nouveaux objets.

Quand on dit qu’un emballage est fabriqué avec une matière recyclée, cela signifie qu’on a utilisé dans la fabrication de l’emballage de la matière secondaire issue du recyclage. Un objet contenant du recyclé a été fabriqué avec de la matière issue du recyclage.

Pour autant, ce n’est pas parce qu’on introduit de la matière recyclée, que l’emballage est recyclable.

Le Plastique en 10 chiffres

  1. 5000 milliards de morceaux de plastiques flottes déjà dans nos océans.
  2. À travers le monde, 73 % des déchets sur les plages sont du plastique : filtres de cigarettes, bouteilles, bouchons, emballages alimentaires, sacs ou bacs en polystyrène.
  3. La production mondiale de plastique a connu une croissance exponentielle, passant de 2,3 millions de tonnes en 1950 à 162 millions en 1993 puis 448 millions en 2015.
  4. D’ici 2050, toutes les espèces d’oiseaux marins mangeront du plastique régulièrement.
  5. Depuis 2015, plus de 6,9 milliards de tonnes de déchets plastique ont été produites. Environ 9 % ont été recyclés, 12 % ont été incinérés et 79 % ont été accumulé dans des décharges ou dans la nature.
  6. À travers le monde, près d’un million de bouteilles en plastique sont vendues chaque minute.
  7. Les estimations sur la durée de vie du plastique vont de 450 ans à l’infini.
  8. De nos jours, le marché principal de plastique est celui des emballages. Ce segment représente à présent près de la moitié de tous les déchets plastiques produits dans le monde, la plupart n’étant jamais recyclés ou incinérés.
  9. Selon les derniers rapports, environ 700 espèces d’animaux marins ont déjà ingéré du plastique ou ont été piégés dedans.
  10. Plus de 40 % du plastique n’est utilisé qu’une fois, avant d’être jeté.

Le Plastique : Dangereux pour la planète et pour la Santé.

Comme nous l’avons évoqué plus haut, le plastique est dangereux pour l’environnement et pour notre santé. Nous le savons tous, et pourtant, rien ne change dans nos habitudes. 

Regardons de plus près pourquoi il est important de renverser la vapeur et de tous devenir actif dans cette transition écologique.

Un Danger pour la planète

Et oui, le plastique tue. Les animaux en sont les premières victimes, comme en témoigne notre petit Pottok avec sa pauvre mouette.

Le plastique présente un danger pour l’environnement à plusieurs niveaux. Premièrement, sa production nécessite l’extraction de ressources non renouvelables comme le pétrole, ce qui entraîne une pression accrue sur les réserves naturelles. De plus, la fabrication de plastique génère des émissions de gaz à effet de serre et contribue au changement climatique.

Ensuite, la gestion des déchets plastiques pose un problème majeur. Une grande partie des plastiques utilisés se retrouvent dans les décharges ou dans la nature, mettant des centaines d’années à se dégrader. Ces déchets peuvent contaminer les sols, les cours d’eau et les océans, nuisant gravement à la biodiversité marine et à d’autres écosystèmes.

Les animaux, en particulier marins, sont les premières victimes de nos déchets.

  1. Ingestion accidentelle : Les animaux marins confondent souvent les déchets plastiques avec de la nourriture. Ils les ingèrent, ce qui peut causer des dommages internes, des obstructions, des lésions et même la mort.

  2. Problèmes de santé : Certains plastiques contiennent des produits chimiques toxiques qui peuvent être libérés dans l’organisme des animaux, entraînant des problèmes de santé graves, y compris des troubles hormonaux, des problèmes de reproduction, des altérations du système immunitaire et des cancers.

  3. Enchevêtrement : Les animaux peuvent se retrouver piégés dans des débris plastiques comme des filets de pêche ou des anneaux de plastique, ce qui entraîne des blessures, des amputations ou des infections, pouvant conduire à leur mort.

  4. Perturbation des écosystèmes : Les déchets plastiques altèrent les habitats naturels, modifiant les conditions de vie des animaux et perturbant les chaînes alimentaires. Cela peut entraîner des impacts à long terme sur les populations animales.

 
 

En résumé, le plastique représente une menace sérieuse pour la vie sauvage en raison de ses effets directs sur la santé des animaux, de son incidence sur les écosystèmes (altère la qualité de l’eau et des sols et contribue de manière significative à la pollution environnementale) et de sa contribution aux problèmes de conservation de la biodiversité.

Un Danger pour la Santé

Le plastique est présent tout autour de nous. Dans notre alimentation, dans les jouets pour nos enfants… Peu importe où vous posez votre regard, vous trouverez du plastique.

Pottokito n’est donc pas une exception avec sa bouteille d’eau ! Et pourtant, il va découvrir qu’il devrait plutôt investir dans une gourde!

Le plastique, omniprésent dans notre vie quotidienne, présente des risques pour la santé humaine. Bien que pratique et polyvalent, il peut être nocif lorsqu’il entre en contact avec des aliments, de l’eau ou même par simple exposition prolongée.

Certains plastiques contiennent des produits chimiques tels que les phtalates et les bisphénols, connus pour être des perturbateurs endocriniens (voir notre article sur le sujet). Ces substances peuvent interférer avec le fonctionnement du système hormonal humain, ce qui peut entraîner divers problèmes de santé, notamment des troubles de la reproduction, des anomalies de développement, voire des maladies chroniques comme le cancer.

Lorsque les plastiques sont chauffés, notamment au micro-ondes ou au contact d’aliments chauds, ces substances chimiques ont tendance à se libérer et à migrer dans les aliments ou les liquides qu’ils contiennent, contaminant ainsi notre alimentation. De même, les récipients en plastique utilisés pour stocker des liquides chauds peuvent libérer ces composés toxiques.

Par ailleurs, les microplastiques, de minuscules particules de plastique résultant de la dégradation des emballages, des vêtements synthétiques ou d’autres sources, ont été détectés dans l’eau potable, les aliments et même dans l’air que nous respirons. La consommation involontaire de ces microplastiques soulève des préoccupations quant à leurs effets sur la santé humaine à long terme, bien que les recherches sur ce sujet soient encore en cours.

Nous Buvons du Plastique

Et c’est ici que nous abordons le sujet qui intéresse Pottokito. Oui, ce n’est pas un fake, malheureusement. L’association Agir pour l’Environnement à publier une étude très inquiétante (en fournissant les rapports d’analyse) nous informant que dans nos bouteilles d’eaux se trouvait la présence de microplastiques. Sur neuf marques analysées (et nous parlons de grandes marques, les plus vendues en France) sept contiennent des microplastiques !

Et ingérer des microplastiques, qu’est ce que cela implique concrètement ? En réalité…. on ne le sait pas ! Il existe encore très peu d’études sur leurs impacts sanitaires et leur accumulation dans l’organisme humain. 
L’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) exprime son incapacité à évaluer pleinement les dangers sanitaires liés aux microplastiques en raison du manque flagrant d’études disponibles. Elle souligne l’urgence d’approfondir la recherche sur les impacts des microplastiques sur la santé et insiste sur la nécessité de réprimer la pollution plastique. La Docteure Maria Neira, Directrice du Département Santé Publique, Environnement et Déterminants Sociaux de la Santé à l’OMS, met en garde contre la nécessité pressante de mieux comprendre les conséquences des microplastiques sur la santé, soulignant leur omniprésence, y compris dans l’eau que nous consommons.


Les études menées sur les animaux suscitent des inquiétudes car elles indiquent que l’ingestion de micro et nanoparticules de plastique pourrait avoir des effets nocifs sur le microbiote intestinal, le métabolisme et même le cerveau.


Jusqu’à présent, aucune étude n’a examiné les effets des microplastiques sur l’homme ni l’impact du mélange de microplastiques présents dans notre alimentation. 

 

Et oui, ce n’est pas rassurant, moi, à la place de Pottoki, je m’abstiendrai… si vous souhaiter en apprendre plus sur ce sujet, je vous invite à lire cette étude très intéressante.

Quelles alternatives avons nous?

L'Aluminium

 

L’aluminium est 100% recyclable, sans perte de ses qualités physico-chimiques. On estime que 75% de l’aluminium produit depuis 1880 est toujours utilisé aujourd’hui.

Si la production primaire consomme beaucoup d’électricité, le recyclage ne consomme que 5% de l’énergie initialement nécessaire.
Il est donc très rentable : l’aluminium usagé a une valeur économique élevée.

Cette valeur économique contribue à son recyclage effectif : plus un produit contient d’aluminium, plus il a de chances d’être recyclé !

Le stock d’aluminium à recycler ne cesse de croitre et constitue, pour l’avenir, d’importantes ressources à un coût énergétique très réduit.

L’aluminium est très léger ! Le transport des produits en aluminium consomme donc peu de carburant comparé à du verre. (moins polluant)

Les chiffres clés du recyclage de l’aluminium

  • Le recyclage de l’aluminium ne nécessite que 5% de l’énergie nécessaire à la production primaire d’aluminium.
  • Recycler 1 kg d’aluminium permet d’économiser 4 kg de bauxite, le minerai nécessaire à sa production primaire et réduit l’émission de CO2 de 7.7 tonnes.
  • Aujourd’hui, près de 47 % de l’aluminium consommé en France est issu du recyclage

Le Verre

Les emballages en verre sont bénéfiques pour l’environnement pour plusieurs raisons. Tout d’abord, le verre est entièrement recyclable, réduisant ainsi la quantité de déchets et préservant les ressources naturelles. De plus, contrairement au plastique, le verre ne libère pas de produits chimiques nocifs dans les aliments ou les boissons, préservant ainsi leur qualité. Sa durabilité protège également les contenus de la lumière, de l’humidité et de l’oxygène, prolongeant leur durée de conservation. En choisissant le verre, on réduit la demande de plastique et par conséquent, on limite la pollution plastique qui affecte les écosystèmes, les océans et la vie marine.

Les chiffres clés du recyclage du verre

  • Environ 88% du verre est recyclé en Europe, en faisant l’un des matériaux les plus recyclés.
  • En France, le taux de recyclage du verre atteint environ 78.7%.
  • Ce recyclage équivaut à près de 2.5 million de tonnes de verre recyclé annuellement.
  • Le processus de recyclage du verre économise de l’énergie, car il nécessite moins de chaleur que la production de verre à partir de matières premières vierges.
  • Chaque tonne de verre recyclée permet d’économiser environ 670 kg de CO2.

Kaxu ! Il y a d'autres mauvaises surprises en vue!

L'Aluminium

Oui, nous venons de vous vanter les mérites de l’aluminium, mais il est important de savoir quelques petites choses à son sujet!

  • Sa création ( on ne parle pas de sa recyclabilité ici ! ) Chacune de ces étapes nécessitent une importante consommation d’énergie, entrainant de nombreux dommages environnementaux. 

    Sa production mondiale est évaluée à plus de 38 millions de tonnes par an. Cela engendre un rejet de 78 millions de tonnes de CO2 dans l’environnement. Sa production nécessite également une importante quantité d’eau. Il faut au minimum 100 litres d’eau pour en fabriquer 1 kg. Ces données indiquent à quel point son extraction est assez polluante.

  • Par manque de dispositif de collecte efficace, l’aluminium génère beaucoup de déchets. Les flacons, ainsi que les emballages alimentaires fabriqués en ce matériau, sont jetés avec les autres déchets ménagers.  (A chacun de nous de faire plus attention !)

 

  • Les tubes en aluminium : 

Le Verre

Le verre aussi à ses inconvénient ! 

  • Sa fabrication :

Le bilan carbone d’une bouteille en verre est nettement plus élevé que celui d’une bouteille en plastique : une seule bouteille en verre génère environ 345 grammes de CO2, tandis que celle en plastique en produit environ 129 grammes, selon une source du site L’Express.

(Pour chaque tonne de verre produite, il faut :
– l’extraction de 1,2 tonne de matières premières. Même si le verre consiste en un mélange de sable quartzeux, de calcaire et de carbonate de sodium, matériaux très répandus dans la nature, leurs extractions peuvent perturber l’écosystème.
– 105 kilos de fioul pour le fonctionnement des fours dont la température s’élève jusqu’à 1 500 degrés.)

  1. Son poids :

Le produit est plus lourd que le plastique. Le transport de produits en verre devient donc plus volumineux et consomme donc plus de carburant, entraînant des émissions de carbone plus importantes liées au transport,. La fragilité du verre entraîne également un impact écologique puisqu’il demande un soin dans l’emballage avec l’utilisation de matériaux supplémentaires pour son calage et sa protection.

Ok.. Mais comment faire?

La santé de la planète ne dépend pas que d’un seul acteur. Nous devons tous participer. Assurez-vous de trier convenablement vos déchets.

Au niveau des entreprises : Utilisez des emballages issus de la filière du recyclage. Bannissez le plastique autant que possible. Privilégiez l’aluminium en évitant les emballages en tube. Plusieurs actions peuvent être mises en place, notamment les consignes.

Mettre en place un système de consignes reste l’option la plus écologique. Même si cela conduit l’entreprise à investir dans un circuit de traitement, Les recycler consomme toujours moins d’énergie, malgré les processus de nettoyage indispensables, que d’en fabriquer des nouveaux.

Et chez Kosmorebi?

Nous avons banni le plastique de nos packaging au maximum (Pour les accessoires indispensable, tels que les bouchon mousseur, nous avons prévu un système d’éco-recharge. Vous pouvez commander votre produit sans plastique, avec un bouchon en aluminium, vous permettant ainsi de garder les éléments en plastique et de les réutiliser). Nous privilégions les contenants en verre ou en aluminium.

Et nous allons mettre en place un système de consigne sous peu de temps ! 

Liens utiles :

  1. National Geographic : La revue National Geographic a publié de nombreux articles et reportages sur les dangers du plastique pour la faune marine, notamment en soulignant les conséquences des déchets plastiques dans les océans. Plastique, menace pour la faune mondialeLes animaux cernés par le plastique; La pollution plastique est omniprésente : comment en venir à bout ?…

  2. World Wildlife Fund (WWF) : Le WWF propose des études et des rapports détaillés sur l’impact du plastique sur les écosystèmes marins et la faune. De la Nature aux Humains, jusqu’où iront les Plastiques ? ; La pollution plastique des océans

  3. Publications scientifiques : Des revues scientifiques telles que Marine Pollution Bulletin (exemple : l’avis d’experts sur les additifs plastiques dans l’environnement marin), Environmental Science & Technology (Évaluation des rejets de microplastiques et de nanoplastiques dans les contenants en plastique et les sachets alimentaires réutilisables : implications pour la santé humaine), Science Advances (Plus de 1000 rivières représentent 80% des émissions mondiales de plastique fluvial dans l’océan), et d’autres, publient fréquemment des recherches approfondies sur les effets du plastique sur les animaux marins et l’environnement.

  4. Institutions de recherche océanographique : Des institutions comme l’Institut océanographique de Woods Hole (WHOI) (Plastic in the Ocean), l’Institut océanographique Scripps (LES MICROPLASTIQUES : UN MACRO-PROBLÈME ), le Centre national pour la recherche océanique et atmosphérique (NOAA) (Plastique, ingestion), ainsi que d’autres instituts similaires à travers le monde, mènent des études et partagent des données sur ce sujet.

  5. Agir pour l’environnement: étude sur les microplastique des bouteilles d’eau.
  6. Labocea: Rapport d’analyse sur les microplastique des eaux embouteillées
  7. Cash investigation : Reportage très complet sur le plastique, la grande intox

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